La collection Archéo.doct, en rassemblant les actes des journées doctorales de l'École doctorale d'archéologie (ED 112) de l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, met en valeur les travaux de recherche de jeunes archéologues.
Du Néolithique au début de l'ère moderne et sur les six continents, la collection rend compte de l'actualité de la réflexion sur l'archéologie, ses objets et ses méthodes.
La collection devient exclusivement numérique à partir du volume 9.
À l'heure où cette ressource naturelle est menacée, ces études offrent l’occasion d’amorcer une réflexion sur la gestion actuelle de l’eau et d’aborder les solutions qui ont existé dans le passé, pour les solliciter de nouveau dans le présent.
Sonia De Andreis, Gwendoline Guillaume, Clément Salviani, Juliette Taieb
Les vingt articles qui composent ce volume traitent de la fouille archéologique (préventive et programmée) face aux obstacles naturels, anthropiques, culturels et administratifs rencontrés par les archéologues.
Paul Bacoup, Natacha Caurette, Anne-Sophie Laurent, Astrid Marty
Ce nouveau numéro d'Archéo.doct retranscrit les échanges qui se sont tenus lors de la 15e Journée Doctorale de l’ED 112 de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Cette journée thématique avait pour intitulé : « À Table ! De l’approvisionnement au dernier repas. Regards croisés sur l’archéologie de l’alimentation. »
Le présent volume réuni des communications qui ont porté sur la restitution de différentes chaînes opératoires, complètes ou centrée sur un aspect, ainsi que sur les méthodes et méthodologies développées pour y accéder, telles que les approches expérimentales, ethnoarchéologiques ou technologiques.
Candice Del Medico, Marion Dessaint, Camille Gorin
L'archéologie nécessite des méthodes d’enregistrement rigoureuses qui sont la base de l’approche scientifique de l’étude d’un site et de la construction d’un corpus. Comment doit-on enregistrer les données archéologiques ? Quelles sont les méthodes à notre disposition pour réaliser cette tâche sur le terrain et en laboratoire ?
L'archéologie se distingue des autres sciences humaines, par son objet d’étude qui est l’homme à travers les vestiges matériels, de l’objet jusqu’au site archéologique et son environnement. Mais alors que ces restes tangibles des sociétés passées sont descriptibles, comment aborder les vides documentaires qui n’ont pas laissé de traces manifestes ?
En 1986, paraissait l'ouvrage séminal d’Alain Gallay L’archéologie demain. À l’occasion du trentième anniversaire de ce livre, il convient de s’interroger : l’archéologie de demain est-elle devenue celle d’aujourd’hui ?
Le temps, en archéologie, est un temps construit. Comment distinguer parmi les innovations celles qui modifient profondément les sociétés ? Comment apprécier les dynamiques du changement ? Comment l'évolution, imperceptible ou brutale, devient-elle révolution, subversive et refondatrice ?
Si la notion de frontière renvoie aujourd'hui à une segmentation de l’espace, les sciences humaines et sociales nous permettent de saisir toute la complexité de cette notion.
Antoine Bourrouilh, Nairusz Haidar Vela, Pierre-Emmanuel Paris
Appréhension et qualification des espaces au sein du site archéologique
Archéo.doct n° 8
Cet ouvrage propose de s'interroger sur l'appréhension et la qualification des espaces au sein du site archéologique. Les intervenants ont ainsi partagé leur réflexion sur les marqueurs matériels – artefact ou écofact – servant à l’identification des espaces au sein du site.