Collection dirigée par Mathieu Flonneau et Arnaud Passalacqua
La collection Mobilités & Sociétés accueille des études s'intéressant aussi bien à des modes spécifiques de déplacement – l'avion, le train, l'automobile, la marche, la bicyclette, etc. –, qu'à des études transmodales. La mobilité et les mobilités adressent « au monde comme il va » différents questionnements, qu’ils soient sociaux, politiques, économiques, patrimoniaux ou culturels, que la collection se donne pour vocation d’expliciter. Interroger les mobilités revient enfin à tenter de comprendre les constructions sociales et politiques, assurément davantage questionnées aujourd’hui qu’hier, en raison de contraintes liées aux transitions énergétiques et environnementales.
À l'heure de l’urgence climatique, cet ouvrage sonde la transition à opérer en matière d’empreinte carbone de nos activités en prenant l’exemple des mobilités.
Cet ouvrage propose une histoire de la rue aux XIXe et XXe siècles, à travers ses réalités matérielles : du lampadaire à l'abribus, en passant par le pavé et le bitume des chaussées, chaque élément de la rue a sa propre histoire.
Les politiques de mobilité durable, légitimes au regard de la nécessaire transition écologique, ne sont pas dénuées d'angles morts ni de contradictions. Privilégiant l’amélioration du cadre de vie dans certains espaces, ces politiques sont paradoxalement porteuses de risques environnementaux et sociaux.
Restaurations et consommations dans l'espace des chemins de fer en France (XIXe-XXIe siècle)
Mobilités & sociétés
Des années 1830 aux années 2020, les formes de la restauration ferroviaire ont varié. En France, elle se résume aujourd'hui au bar des TGV, aux boutiques de vente à emporter près des quais et aux restaurants mélangés des quartiers de gare. Mais elle cache une histoire longue.
En mêlant réflexion théorique et perspectives opérationnelles, ce livre souhaite questionner les transformations urbaines occasionnées sur le temps long par l'émergence des mobilités partagées mises en oeuvre par de grandes firmes privées mondialisées.
Cet ouvrage sonde nos représentations de l'espace, du temps et de la mobilité, pour révéler l’ampleur du bouleversement de notre rapport au monde qu’elles produisent. Il en résulte l’émergence d’un « idéal mobilitaire », fondé sur une valorisation de la mobilité pour elle-même.
Cet ouvrage entend saisir les dynamiques historiques du contrôle des mobilités de passagers et des circulations marchandes, à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, en Europe et aux États-Unis, par une analyse des acteurs, des pratiques et des lieux où il s'exerce de New York à Naples, d’Anvers à Marseille.
Est-il possible de concevoir des agencements territoriaux qui favorisent l'usage pertinent d’autres modes de transport que l’automobile, que ce soient les transports collectifs, la marche à pied ou encore la bicyclette ?